+ Descritpion : Un grand nombre de plantes cultivées est sensible à divers pathogènes. L’application des pesticides constitue actuellement le principal moyen de protection des plantes contre ces bioagresseurs. Cette stratégie peut être efficace mais l’emploi répété de ces substances génère des problèmes de pollution, ainsi que l’apparition et l’extension rapide de souches de pathogènes résistants. Des mesures réglementaires européennes et mondiales visent à réduire l’utilisation des pesticides en faveur d’une agriculture plus respectueuse de l’environnement. C’est pourquoi des nouvelles stratégies de lutte contre les pathogènes sont mises en œuvre, actuellement, pour stimuler les mécanismes de défenses naturelles chez les plantes (SDN). Dans ce contexte, nous nous intéressons à l’application de certains agents non polluants (physiques ou biologiques) sur les plantes en croissance pour les préparer à se défendre (priming) contre des futures bioagresseurs. Nous avons choisi comme pathosystèmes pour ces travaux : Laitue/Botrytis cinerea et Fraisier/Botrytis cinerea
+ Compétences et techniques utilisées : Interaction plantes-microorganismes, culture contrôlée des plantes sous serre, traitements des plantes, tests phytopathologiques, analyses macro-microscopiques en épifluorescence, Analyses de la fluorescence du photosystème II par l’Hady PEA, dosages des pigments, dosages des composés phénoliques, dosages de la malondialdéhyde, dosages des protéines solubles.
+ Ce projet est soutenu par un travail de thèse, financé par le gouvernement Vénézuélien (2014-2017)
+ Financement : Tersys